Ausweis bitte!
Au 1er juin, jour de mon 76e anniversaire, je
me vois obligé de reprendre du service pour commenter les
perspectives d’un été qui s’annonce « normal »
(mais qui ne l’est pas) et de faire le bilan des temps à venir en
fonction des maigres libertés conditionnelles récemment
octroyées par la cité panoptique.
Certains de mes interlocuteurs de longue date viennent de découvrir la protéine S
(dite Spike). Et ceci depuis qu’ils se sont fait vacciner.
C’est bien : cela prouve qu’ils s’intéressent à ce qu’on
leur injecte. Le malheur c’est qu’il aurait fallu s’y
intéresser avant de se faire « vacciner ». Car
les piqûres disponibles n’ont rien à voir avec un vaccin. J’avais
déjà parlé de cette fameuse protéine S, il y a un an (voir La case départ), mais à l’époque le grand public ne se penchait pas
encore sur l’aspect « fait sur mesure » (gain of
function) de cet étrange virus SARS-CoV-2. J’étais donc
considéré comme un observateur marginal, pour ne pas dire
complotiste, s’abreuvant d’histoires à dormir debout.
Il est d'ailleurs temps de revenir sur ces histoires pour mieux comprendre ce qui se passe.
Voici une petite mise à jour en ce qui concerne le « vaccin »
et la protéine S:
(source: Un bien sombre futur)
Cela bouge, scientifiquement parlant, autour de la vaccination contre la
COVID-19. Je ne vais pas relayer ici les multiples alertes qui
circulent actuellement sur internet. Il faut garder la tête froide.
Ne parler que de ce qui est sûr et certain et bien référencé.
C’est la seule manière de lutter efficacement contre la propagande
qui fait actuellement rage. On a donc appris très récemment que la
protéine S du virus SARS-CoV-2 isolée de la capside virale était
responsable d’une sous-expression du récepteur ACE2. Concrètement, cela signifie
que toutes les cellules des tissus épithéliaux vasculaires sont
gravement endommagés.
La conséquence est une inhibition de la fonction
mitochondriale en raison d’une production massive d’espèces
réactives de l’oxygène. Cela entraîne automatiquement un
glissement métabolique vers la glycolyse. D’où des cancers et des
maladies neurodégénératives qui se profilent à l’horizon. [...]
Rappelons tout de même le principe de base de la vaccination. Il
s’agit de mettre un organisme en contact avec une forme atténuée
d’un virus ou d’une bactérie. Ou bien alors de n’utiliser
qu’une protéine spécifique de ce même virus ou bactérie.
L’inoculation de ce matériel biologique permet de fabriquer des
anticorps qui protègent l’organisme vacciné d’une infection
ultérieure.
Le problème que l’on rencontre ici, c’est que c’est la
protéine S qui est toxique par elle-même. Via un vaccin
AstraZeneca, par exemple, on vous inocule donc un poison, mortel pour
vos mitochondries. C’est là une nouveauté tout à fait imprévue.
Car, dans un vaccin classique, la protéine injectée n’a aucun
effet par elle-même. Elle ne sert que de marqueur pour le système
immunitaire. Pour ce qui concerne les « vaccins »
par ARN messagers, c’est encore pire. Car là on vous injecte un
matériel génétique qui fait que vos propres cellules produisent
cette protéine S toxique pour les mitochondries. Plus besoin d’être
en contact avec le virus SARS-CoV-2.
Hélas pour ceux qui se sont déjà fait vacciner, cela n’est
pas la fin de la saga. Car on a aussi récemment démontré que l’ARN
messager injecté était
capable de s’insérer dans un génome humain. D’où une
production de la protéine S tueuse de cellules épithéliales de
manière permanente (et non plus transitoire). […] Pour
ceux qui ne comprennent pas, vous êtes simplement devenu une bombe
biologique. Car celui qui appuie sur le détonateur à chaque
division cellulaire n’est plus un agent extérieur. C’est tout
simplement vous-même.
Voilà pour les dernières nouvelles. Je sais que cela ne fera pas plaisir à entendre dans les salons des
gens qui se considèrent responsables et suivent les
directives venues d’en haut sans se poser de questions. Mais la
politique de l’autruche a ses limites. Un jour ou l’autre il
faudra bien sortir la tête du sable pour faire face au danger.
Je n’ai pas l’intention de convaincre qui que ce soit du bien fondé
de ces observations. En général, les gens ne changent d’avis que
lorsqu’il est trop tard. Mon objectif immédiat est de documenter
ce qui se passe de manière à avoir un compte-rendu suffisamment
détaillé dans le temps pour pouvoir suivre les transformations sociales
et génétiques en cours, à tous les niveaux.
Autour des opérations de propagande gérées par l’État, les grands médias et les
compagnies pharmaceutiques, la priorité est donnée à la
décrédibilisation de scientifiques qui s’opposent au story-telling
officiel. Jamais confrontés sur le plan de leur expertise, ils sont
caractérisés comme des personnages égocentriques, fous, parfois
séniles, qui ne représentent plus le consensus dominant. S’ils
ont été récompensés pour leurs travaux par le passé, ils
ne font plus autorité dans leur domaine-- selon les médias.
Les ressources médiatiques engagées sont colossales et la complexité
du sujet décourage vite le citoyen moyen. Voici un aperçu
de la bataille et des méthodes utilisées:
(source: Nanotechnologies et vaccins)
Nous sommes actuellement engagés dans une vraie guerre de l’information. Probablement la
première guerre d’envergure mondiale. Celle où l’information se
conjugue à la nanotechnologie pour créer des armes diaboliques. Du
jamais vu sur cette brave vieille Terre. Tout d’abord, rappelons
quelques faits pour le moins troublants. Pour détecter la présence
du virus SARS-CoV-2 chez un être humain, on prône de réaliser un
test RT-PCR. Pourquoi ne pas utiliser tout bêtement un prélèvement
sanguin ?
Car on sait depuis des lustres que toute infection produit des
anticorps spécifiques, facilement détectables dans le sang. Non, on
rejette d’emblée cette possibilité de détection. On préfère
utiliser un test de très haute technicité. Ce test est capable
d’amplifier des brins d’ADN générés au moyen d’un ARN viral.
En cas de test positif, on ne sait pas si l’on a détecté un virus
vivant ou un virus mort. Alors que si l’on trouve des anticorps, c’est
que vous avez été a priori en contact avec un virus vivant.
Comment savoir si la positivité PCR est liée à un virus
vivant en train de se répliquer ? Dans ses carnets de guerre
COVID-19, Didier Raoult nous l’explique très clairement. On prend
des gens réellement infectés afin de réaliser le fameux test PCR.
Puis, on fait des cultures à partir des prélèvements en changeant
le nombre de cycles (CT) de manière systématique. Si le CT est
inférieur à 16, on constate que 100 % des prélèvements sont
cultivables. C’est sur ce type de prélèvement que l’on peut
déterminer le génome viral.
Pour CT = 26, 50 % des prélèvements restent cultivables.
Grosso modo, cela fait à peu près 800 000 particules virales par
prélèvement. La personne est donc encore contagieuse. Pour CT = 30,
il y a encore 20 % de cultures positives, soit environ 10 000 virus
par prélèvement. C’est encore trop. Par contre, à partir de CT =
35, on sait qu’il n’y a plus de virus vivants.
Quel rapport tout cela peut-il avoir avec une guerre de
l’information basée sur les nanotechnologies ? Comme toujours, il
faut remonter dans le temps, avant cette crise inédite. Car, il y a
deux ans, il n’y avait aucune censure sur l’information. Je vous
invite donc à lire cet article intitulé « Le
gouvernement songe sérieusement à créer des armes contrôlées
par la pensée ». Il a été publié sous format numérique,
il y a environ deux ans, sur le site « Live Science ».
Pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais, je résume.
On y apprend que le DARPA, le bras armé de la recherche
militaire américaine, paye des scientifiques. Rien de bien
surprenant jusque-là. Leur mission est de trouver des moyens de lire
instantanément les pensées des soldats. On utilise pour cela les
outils du génie génétique appliqués au cerveau humain, les
nanotechnologies et des rayons infrarouge.
Ce programme non chirurgical de neurotechnologie et de nouvelle
génération vise à pouvoir établir des communications rapides et
harmonieuses entre le cerveau humain et des drones par exemple. Cela,
sans avoir à utiliser des implants cérébraux. Le programme de
travail n’a rien de secret. On souhaite utiliser des virus modifiés
(vecteurs viraux) afin de délivrer du matériel génétique dans des
neurones spécifiques. On veut que ces neurones puissent produire
deux types de molécules. La première protéine doit être
photosensible et absorber la lumière lors de toute décharge
neuronale. On utilise pour cela de la lumière infrarouge ayant une
fréquence lui permettant de traverser le crâne et le cerveau.
On pourra ainsi arriver à savoir ce qu’une personne est en
train de voir ou d’entendre et ce qu’elle envisage de faire. La
seconde protéine doit être apte à s’accrocher sur des
nanoparticules magnétiques. On pourra ainsi via un signal magnétique
externe stimuler les neurones afin d’induire une image visuelle ou
sonore. Bref, on aura la possibilité de contrôler la pensée d’une
personne à distance. On pourra aussi transmettre des images d’un
cortex visuel à un autre cortex visuel. Joli programme de
recherche lancé dès 2019 (comme par hasard).
Dans l’institut de Recherche de Batelle, on souhaite aller
encore plus loin. On veut ainsi qu’un être humain soit capable de
contrôler une multitude de drones par sa seule pensée. Il faudra
utiliser pour cela des nanoparticules disposant d’un cœur
magnétique et d’un enrobage piézo-électrique. On pourra ainsi
convertir l’énergie électrique en énergie mécanique et
vice-versa. Point crucial : on prévoyait à l’époque d’introduire
les nanoparticules par voie nasale ou par injection. Cela rappelle
étrangement la procédure employée lors d’un test PCR.
On peut aussi mieux comprendre cette obsession à vouloir
vacciner avec des ARN messagers. Beaucoup de médecins ont aussi
remarqué que lorsqu’on pose un aimant sur le lieu de vaccination,
l’aimant colle à la peau. Cela pose la question de savoir pourquoi
l’on devient magnétique après la vaccination. Le DARPA est
peut-être tout simplement en train de profiter de cette crise pour
tester à grande échelle ces nouveaux jouets sur l’être humain.
Car toute recherche nécessite de confronter la théorie à
l’expérience.
Il se pourrait aussi que la vaccination ait quelque chose à
voir avec la ferritine. Il s’agit là d’une nanoparticule
magnétique d’origine biologique dont la surface peut être
fonctionnalisée avec un morceau d’ARN viral. Cela
vient d’être récemment publié dans la revue Nature. Alors
qu’on ne vienne pas me dire que la nanotechnologie et les vaccins
sont deux domaines de recherche parfaitement étanches l’un à
l’autre. Bien au contraire, la vaccination est le moyen idéal pour
tester à grande échelle toute bio-nanotechnologie visant à
interfacer l’être humain avec des machines. Ceci en boycottant
bien sûr, pour cause d’urgence sanitaire, les comités d’éthique
et longs tests cliniques. […]
Pour conclure, ne gobez pas non plus, comme des mouches, les
fausses informations qui circulent au sujet de la vaccination. Par
exemple, on attribue à Luc Montagnier des propos selon lesquels
toutes les personnes vaccinées mourront dans les deux ans qui
viennent. Cela est totalement faux, car j’ai pu joindre cet éminent
chercheur avec lequel je collabore régulièrement. Voici ce qu’il
m’a dit : « Ces paroles ne sont
évidemment pas les miennes, il s’agit d’un montage
frauduleux pour créer une panique et empêcher la vérité médicale
et scientifique de se faire jour. Nous en
recherchons les auteurs ». Donc il y a aussi des
personnes malveillantes qui cherchent à dénigrer la vaccination en
mettant de faux propos dans la bouche de grands scientifiques.
Cela n’est pas nouveau et le pauvre Albert Einstein a été
très souvent victime de ce genre d’abus. Car, la vaccination peut
s’avérer utile, dans certains cas bien précis. Toutefois, dans le
cas des vaccins contre la COVID-19, il faut la refuser, car les
études cliniques sont encore en cours. De plus, si ce type de
vaccins relève bien de la nanotechnologie et de la manipulation
génétique, il ne faut pas le dissimuler. Il faut au contraire
l’affirmer clairement avec preuves à l’appui, venant
d’organismes totalement indépendants des fabricants. Sans de
telles garanties, refuser la vaccination à la COVID-19 ou le test
PCR par prélèvement nasal profond est la seule position raisonnable
et réfléchie que je puisse recommander aujourd’hui.
C’est un peu long, mais ça résume bien les enjeux de la guerre, telle qu’elle se présente. Il est
bien sûr plus facile de ne rien faire et d’attendre que les choses se précisent. Mais il vaut mieux être
informé. Personne n’aime les mauvaises nouvelles. Les cafés et
les restaurants rouvrent, les cinémas aussi. On va pouvoir aller au
spectacle-- voyager ! Un seul bémol : ausweis
bitte !
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