La case départ
Beaucoup de questions se posent sur l’origine du COVID-19, pandémie qui nous obsède et qui va finir par détruire la trame sociale sur laquelle notre société repose. À quel moment prend-on la décision de suspendre les libertés individuelles, tout en forçant les gens à se méfier les uns des autres ? Pourquoi ces décisions ont-elles été prises à l’échelle mondiale ?
Les sommités médicales de service, auxquelles les politiciens ont soi-disant fait confiance, travaillaient manifestement à la limite de la désinformation. Suite aux projections élevées et fantaisistes avancées par le professeur Neil Fergusson de l’Imperial College de Londres, grand prophète du confinement indispensable (thèse reçue avec enthousiasme par la revue anglaise Nature, qui lui a consacré un article de fond le 2 avril 2020 https://www.nature.com/articles/d41586-020-01003-6), la main est passée à l’équipe éditoriale de la revue The Lancet, chargée de torpiller les traitements à l’hydroxychloroqine du professeur Raoult. S’appuyant sur sa réputation d’excellence dans le domaine de la recherche scientifique médicale, elle n’a pas hésité à publier une étude invraisemblable, menée par des charlatans, arrivée juste à temps pour contrer l’adoption d’une solution efficace et peu coûteuse, qui aurait pu servir à enrayer la « pandémie » dans des délais acceptables. On comptait sur l’autorité de la source pour faire passer le message trompeur et sur le manque d’intégrité de la classe politique pour faire barrage à ceux qui auraient voulu s’insurger contre la manipulation. Pari gagné, qui en dit long sur le degré de soumission des citoyens concernés…
À présent c’est au tour de Nature Medecine de se mettre en travers du débat sur l’origine suspecte du virus. Dans un article précédent, j’ai parlé de la démarche opiniâtre, vile et hystérique de la revue Nature, lors du lynchage médiatique organisé par la « communauté scientifique » pour décrédibiliser les travaux de Jacques Benveniste et ceux de Luc Montagnier, particulièrement gênants pour l’industrie pharmaceutique. Nature Medecine, filiale de la revue mère, rend service en refusant d’accepter les soumissions d’articles portant sur les manipulations génétiques connues sous le nom de Gain of Function. Elles permettent de développer une pathogénicité et une transmissibilité virale élevée, dangereuse pour les populations humaines.
Alors que les preuves concernant l’origine artificielle du SRAS-CoV-2 (virus qui a provoqué l'épidémie connue sous le nom de COVID-19) s’accumulent, les revues scientifiques traditionnelles écartent allègrement les articles qui abordent ce sujet. C’est ce que signale le site GMwatch, bien au courant de ce qui se passe dans le domaine des modifications génétiques (https://www.gmwatch.org/en/news/latest-news/19475-journals-censor-lab-origin-theory-for-sars-cov-2).
L’article le plus récent, qui conforte les théories prônant la création en laboratoire du virus au moyen de manipulations génétiques, n’a pas été publié dans une revue à comité de lecture, mais dans un magazine norvégien. Les scientifiques éminents Birger Sørensen, Angus Dalgleish et Andres Susrud ont confié leur article grandement attendu au site web du magazine Minerva.
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Birger Sørensen |
D’après Minerva, le virologue Birger Sørensen et ses collègues ont étudié le virus en question et affirment que certaines de ses propriétés ne proviennent pas d’une évolution naturelle par mutation. Les conclusions sont encore controversées, mais dans l’entretien publié par le magazine, l’équipe de Sørensen partage les conclusions justifiant les gros titres.
Leur étude (https://www.minervanett.no/files/2020/07/13/TheEvidenceNoNaturalEvol.pdf) s'appuie sur un article précédemment publié dans la Quarterly Review of Biophysics. Il décrit les propriétés de la protéine de pointe du virus (Spike protein), découvertes nouvellement. Interrogé sur l’importance de son approche, Sørensen s’explique :
« Nous avons étudié les composants du virus les mieux adaptés pour s’attacher aux cellules humaines. Et nous l’avons fait en comparant les propriétés du virus à celles de la génétique humaine. Ce que nous avons découvert, c’est que ce virus est exceptionnellement profilé pour infecter l’être humain. »
Il s’arrête une seconde.
« Tellement bien, que c’est suspect », ajoute-t-il.
Interrogé sur les raisons pour lesquelles il n’y a pas eu plus de débats à ce sujet, Sørensen propose plusieurs explications.
« Cela devient rapidement une discussion à caractère politique plutôt qu’un débat scientifique », répond-il. « Personne ne veut avancer une vérité qui dérange, car de nombreux scientifiques s’inquiètent pour leur propre financement et leur rang au cas où ils se permettraient d’émettre une hypothèse aussi controversée. Il est néanmoins vrai qu’une multitude d’internautes s’est engagée dans ces débats. Mais jusqu’à présent, ceux qui participaient aux forums étaient qualifiés de conspirationnistes. Il est également vrai qu’un débat sur les recherches de ce type et sur les technologies qui sont utilisées peut nuire à la réputation du domaine en général et mener à de nouvelles restrictions sur les recherches en génétique moléculaire. Dans cet esprit, il n’est pas difficile de comprendre que les articles contestataires soient difficilement acceptés par des revues à comité de lecture, présentes dans ce genre de recherches », précise Sørensen.
Sørensen lui-même est président du conseil d’administration d’Immunor, société qui travaille au développement de son propre vaccin, candidat contre le COVID-19. Minerva l’a mis au défi de répondre aux allégations selon lesquelles son hypothèse serait lancée publiquement afin d’attirer des fonds pour soutenir ses propres recherches.
« Bien sûr, il est dans mon intérêt que mes recherches soient connues, mais je suis complètement ouvert et j'ai déclaré tous mes liens. Dans un même temps, je soutiens qu’il devrait être possible pour ceux d’entre nous qui travaillons pour des petites sociétés de biotechnologie, de présenter nos découvertes et d’en parler sans entraves. Si quelqu’un souhaite contester mes conclusions, il est bien sûr invité à le faire, mais j’espère qu’il s’engagera à fond dans les arguments, plutôt que de dérailler en s’adressant à mes motivations », répond Sørensen.
D’après moi (M.B.), si le virus a vraiment été conçu en laboratoire, il est important de se demander s’il en est sorti 1) par accident ou 2) intentionnellement. Dans le second cas, il n’y aura pas de preuves, mais l’éventualité doit être envisagée, ne serait-ce que pour entrevoir les mécanismes génocidaires du reset économique et social qu’on nous fait miroiter, et dont les effets ne manqueront pas de se préciser dans un avenir proche. La réduction de la population mondiale est à l’ordre du jour depuis longtemps. Sa mise en pratique rapide est devenue à la fois techniquement possible et pour certains, inévitable. Thèse sérieusement conspirationniste, mais qui offre une autre perspective sur la guerre mondiale en cours : celle de l’élite autoproclamée, tous pays confondus, contre la plèbe encombrante et inutile. Tout le reste n’est que théâtre.
Voici une vidéo toute courte en bonus. Il s’agit de la lutte contre le COVID-19 en Inde. Bientôt chez nous ? https://twitter.com/i/status/1284467405989777408
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