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Affichage des articles du juillet, 2020

La case départ

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Beaucoup de questions se posent sur l’origine du COVID-19, pandémie qui nous obsède et qui va finir par détruire la trame sociale sur laquelle notre société repose. À quel moment prend-on la décision de suspendre les libertés individuelles, tout en forçant les gens à se méfier les uns des autres ? Pourquoi ces décisions ont-elles été prises à l’échelle mondiale ? Les sommités médicales de service, auxquelles les politiciens ont soi-disant fait confiance, travaillaient manifestement à la limite de la désinformation. Suite aux projections élevées et fantaisistes avancées par le professeur Neil Fergusson de l’Imperial College de Londres, grand prophète du confinement indispensable (thèse reçue avec enthousiasme par la revue anglaise Nature , qui lui a consacré un article de fond le 2 avril 2020 https://www.nature.com/articles/d41586-020-01003-6 ), la main est passée à l’équipe éditoriale de la revue The Lancet , chargée de torpiller les traitements à l’hydroxychloroqine du professe

Pourquoi?

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C’est la question que beaucoup de personnes se posent. Surtout celles qui absorbent mal les directives venues d’en haut. Tout le monde n’arrive pas à suivre les revirements contradictoires du récit officiel concernant la pandémie. Récit prédictif, plutôt qu’objectif, dont la trame ressemble étrangement à celle d’un roman d’épouvante classique, peuplé de vampires aux baisers contagieux, livré au grand public en épisodes surchargés de drames intimes et de menaces confortant sa psychose. En France, la virulence exagérée de la « pandémie », replacée dans son contexte par l'affichage des ressources hospitalières à présent disponibles, montre bien qu’il n’y a pas d’urgence. Plus besoin d’ aplatir la courbe . Tout le reste n'est que fiction : la reprise de l’épidémie, les taux de contagion en hausse (manifestement sans impact sur le taux d’hospitalisation, ce qui indique clairement que la majorité des porteurs est hors danger, puisqu’elle n’a pas besoin d’être soignée), les mes

Sur le chemin du retour

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Encore le terminal 3… Ça tourne au rituel depuis le départ de Christine. En ce moment il n’y a qu’un seul vol disponible sur Paris, à partir de San Francisco. C’est le tristement incontournable UA2439 / UA57, qui fait escale à Newark, où convergent les correspondances de United Airlines. Les passagers désirant se rendre à Paris sont rassemblés ici. Pour survivre au COVID, United a reçu cinq milliards de dollars soutirés au Trésor public : un et demi en prêts, le reste en subventions directes. L’individu malade coûte moins cher, mais il n’est pas automatiquement couvert. À partir du 1er juillet, l’Europe s’est officiellement fermée aux Américains et les États-Unis aux Européens. Le deuxième mouvement de la symphonie panoptique est en répétition en ce début d’été et les cordes du COVID-19 résonnent avec la complexité d’un Stradivarius. Alexia, Sylvain et le petit Tristan sont partis le 1er juillet. J’ai pu les accompagner à l’aéroport, car mon vol ne partait que deux jours plus t