Le théatre panoptique
Il est temps de faire le point sur ce qui se passe depuis le début de la crise pandémique. Il est clair à présent que les « vaccins » ne servent plus à rien, sinon à enrichir les compagnies pharmaceutiques qui les commercialisent avec la complicité des États soumis à la politique mondialiste d’une élite méprisante, qui ne se cache même plus.
Les derniers bastions de l’opposition tombent et ce n’est plus qu’une question de temps avant que la stratégie du contre-pied n’entre en scène. C’est comme au tennis : coup droit, revers, à nouveau coup droit, jusqu’au moment où l’amplitude de la cavalcade de gauche à droite s’avère être suffisante pour introduire le contre-pied fatal, qui permettra de clore l’échange.
J’entends dire que la menace du virus est à présent crédible, car même les Russes et les Chinois admettent qu’elle existe et qu’elle est réelle, alors qu’ils sont manifestement en dehors du « système » géré par l’occident démocratique. En dehors du tennis, les gens ne comprennent toujours pas les principes du théâtre, avec ses mises en scène outrancières, qui permettent de captiver des audiences naïves pour leur faire croire n’importe quoi.
En l’occurrence, on essaye de nous suggérer que la Russie et les forces de l’OTAN sont au bord d’une guerre nucléaire presque impossible à éviter. Poutine, le copain de Berlusconi et de Netanyahu, supposé être l’ennemi mortel de l’occident, est prêt à en découdre avec le sénile Biden, qui le traite de « tueur », mais ne refuse pas de le rencontrer. Pareil pour les Chinois, qui bénéficient de la délocalisation globale de l’industrie, initiée par l’Occident, sans qu’il n’y ait de contraintes au niveau des objectifs établis par l’élite responsable de la mise en place de cette politique.
Aucun pays ne doit être capable d’assurer sa propre autonomie. D’où le développement prévisible de la phase suivante : on oublie la pandémie (sans vraiment l’oublier) et on se concentre sur une nouvelle crise orientée vers un nombre croissant d’attaques cyber-logistiques sur des infrastructures de base, qui vont permettre de créer des pénuries à l’échelle mondiale.
L’internet est un réseau fragile, dont les entreprises et les utilisateurs dépendent lorsqu’il s’agit de gérer leurs activités commerciales. Sans internet, pas de médiation bancaire, donc pas de transaction possible entre acheteur et vendeur. Essayez donc d’acheter du pain chez le boulanger avec une carte bancaire qui ne marche plus.
Tout cela est prévisible pour ceux qui réfléchissent un tant soit peu, mais le fait d’être conscient des conséquences ne change rien à l’affaire. La partie est perdue depuis longtemps au niveau des dépendances et il est impossible de revenir en arrière. Il n’y aura pas de révolution, ni même de résistance. Les gens veulent profiter au maximum des privilèges accumulés jusqu’ici et ne se soucient guère de ce qui affecte la population dans son ensemble. Il s’agit avant tout d’échapper au raz de marée qui s’annonce et de rejoindre un îlot magique, qui sera épargné par les catastrophes à venir, en espérant que la vie puisse reprendre un jour son cours normal. Vaine espérance, où se cache un égoïsme qui ne résistera pas au darwinisme ambiant. Que le plus fort gagne !
Tout cela pour dire qu’il est temps de se réveiller et faire face aux défis qui se précisent à l’horizon. D’une population globale de presque 8 milliards, il restera forcément quelques centaines de millions de survivants. Le tout c’est de savoir s’ils seront encore capables de faire face à leurs maîtres techno-assistés.
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