Pensées hivernales
Les nuits sont longues et le solstice d’hiver approche. À l’obscurité qui nous mine en cette période hivernale s’ajoute la confusion générale engendrée par la politique sanitaire officielle, dont le but devient de plus en plus transparent. Il n’y a plus grand-chose à dire sur la situation actuelle. L’effondrement approche et les gens s’emmêlent encore les pattes dans le choix des comportements prudents à adopter face aux urgences décrétées d’en haut. Ils font et refont le bilan de leur contribution personnelle au bien être collectif, mais leur autosatisfaction civique (« j’ai tout bien fait ! ») cache une appréhension inavouée face à la menace d’une pandémie sans fin. Tous commencent à comprendre que les promesses optimistes d’un retour à la normale n’ont plus aucun sens. À présent le faux et le mensonge se propagent sans opposition, avec la complicité tacite des conseillers scientifiques du gouvernement, prêts à se plier en quatre pour soutenir la politique liberticide de ses dirigeants.
Les mondialistes ont finalement gagné et leurs vaccins, conçus par les sorciers de la manipulation génétique, attendent déjà ceux qui y croient. Entre-temps, la censure écrase les dissidents sous le poids d’affirmations musclées, relayées par une presse servile. L’unanimité médiatique se reproduit partout et nous indique que les mécanismes répressifs de la mondialisation sont bien en place et fonctionnent, ne serait-ce qu’à ce niveau.
Les scandales se suivent et se poursuivent, mais cela ne gêne plus personne. Le dernier en date vient d’Allemagne, où un article clé du journal prétendument « scientifique » Eurosurveillance (tout à fait dans la mouvance du Lancet en ce qui concerne la désinformation), daté du 23 janvier 2020, et rédigé par le Dr. Christian Drosten, avec des collègues de l’institut de virologie de Berlin, associé à l’hôpital de la Charité de la même ville, et appuyé de surcroît par le patron de la compagnie biotech TIB Molbiol Syntheselabor GmbH, s’appliquait à démontrer l’efficacité d’un test permettant de détecter l’infection par un coronavirus identifié quelques jours auparavant à Wuhan. L’article, intitulé “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR” (Eurosurveillance 25(8) 2020), a permis d’adopter un protocole dit « scientifique », pour justifier le dénombrement surréaliste des cas COVID et les mesures sanitaires contraignantes qui en découlent. Je ne vais pas entrer dans les détails de la mystification, bien revue dans les articles ci-dessous :
Scandale en Allemagne au sujet du test RT-PCR
Remise en cause de l’efficacité du test (en anglais) :
Et un article sur la fiabilité des vaccins, en bonus :
À ce stade, il n’est plus question d’affirmer quoi que ce soit, car tout est faux et les perspectives ne sont guère encourageantes. Le système de contrôle social est en place et il y a peu de chance que son efficacité se relâche dans les mois ou les années à venir. Le citoyen ordinaire n’a pas de moyens autres que son bon-sens inné pour combattre l’hypnose collective déclenchée et soutenue par les technocrates aux manettes de la machine infernale.
Mais tout finira peut-être bien par rentrer dans l’ordre. Il est peu probable qu’une humanité boursouflée et inconsciente, dont les faiblesses se dévoilent en plein jour, résiste longtemps face aux mégalomanes malins qui cherchent à s’en débarrasser. A force d’être confronté aux lâchetés des foules soumises, on finit par se demander si les choses ne vont pas dans la bonne direction, après tout ? Le loup arrive toujours lorsque le mouton commence à boiter. Il faut attendre que le ménage darwinien se fasse.
Les morts, les morts-vivants, les sur-vivants et les immortels s’intègrent naturellement dans une hiérarchie administrée par une intelligence qui n’a rien d’artificiel. Les écarts se font sur la base de principes entrevus il y a longtemps, ne serait-ce que par Platon, qui en fait état dans ses dialogues sur les modalités d’accès à l’immortalité :
Il ne nous reste plus qu’à revenir à la musique des sphères et aux artistes exceptionnels qui nous permettent d’entrevoir le tour de force effectué par les cyclopes occupés à fabriquer les foudres de Zeus : artisans mal vus d’un complexe militaro-industriel invisible, installé dans les profondeurs d’un monde qui s’étend bien au-delà des frontières de l’humain ou du transhumain :
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