Les élections américaines
Au pays exceptionnel la démocratie triomphe une dernière fois. La sénile amère loque bleue s’est imposée face au vil amerloque rouge. Entre temps le pays part à vau-l’eau et ne se remettra probablement pas des salades électorales huileuses, agrémentées de boniments médiatiques. Il faut bien le reconnaître : le petit peuple, tout le monde s’en fout. La bagarre est entre les milliardaires. L’argent cosmopolite rusé se prépare à instaurer un ordre néo-trotskiste, basé sur le principe d’une révolution technologique mondiale permanente.
Ce qui compte en ce moment, pour les trotskistes, c’est le maintien de l’illusion d’un danger insurmontable, qui va servir à arrêter l’activité économique indépendante. Pour bien comprendre, il faut revenir à la collectivisation de l’époque soviétique, qui avait permis de séparer le paysan de sa vache (et d’en faire la propriété de l’État). Tant que le paysan avait sa ferme et sa vache, les directives abstraites du gouvernement le laissaient indifférent. Il était indépendant et pouvait survivre en autarcie. C’était donc ça qu’il fallait détruire.
Du point de vue de la révolution mondiale moderne, le problème reste le même. Il faut tuer les indépendants et remplacer le kolkhoze d’antan par la prison panoptique. Mais avant de collectiviser ouvertement, il s’agit d’attendre que l’économie soit mûre pour l’effondrement total. Comme à l’époque en Russie, cela permettra de mettre en place un système totalitaire, où il ne sera plus question de démocratie et encore moins de liberté.
Mettez bien vos masques, l’heure approche !
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