Métaphysique quantique
Les androïdes de la cité panoptique sortent leurs oriflammes pour recouvrir les statues qui commémorent encore la grandeur d’un passé devenu gênant. On occulte et on repart à zéro. Plus d’histoire. C’est simple, ça marque les esprits et c’est non-violent. La présence d’un policier au cœur de l’action punitive montre que tout va dans la bonne direction. Le jeune patriote barbu, vêtu d’une veste en jean bleu clair, le cou cerné d’un foulard rouge, casquette noire sur la tête, monte sur le socle en pierre de la sculpture épique, s’appuyant sur l’effigie d’un jouvenceau agenouillé, rendu en marbre blanc. Il s’apprête à exorciser les démons d’une élite déchue au nom des souffrances de leurs victimes opprimées. L’ordre nouveau est à ses côtés : en uniforme, sans arme, l’air repentant et soumis. L’image est convaincante.
Dans les grandes villes on laisse brûler un peu pour que ça ressemble à une vraie révolution. Les magasins sont barricadés, les hélicoptères tournent en permanence au-dessus des quartiers chauds et les manifestants viennent de remettre leurs masques. Le gouverneur de l’État de Californie a exigé cette précaution pour lutter contre la pandémie. Les militants lui obéissent. Dans les paramètres de l’en même temps, il est possible de se battre contre un système injuste en se soumettant quand même aux consignes des politiciens qui le représentent : c’est magique.
L’ordre social change vite, mais cela ne veut pas dire que le COVID-19 a été oublié pour autant. Sans demander la permission de leurs utilisateurs et sans les informer, Apple et Google viennent d’installer l’API attendue par les maniaques du flicage. Elle permet de tracer les contacts suspects entre usagers. Depuis trois jours, elle attend patiemment sur les portables intelligents en circulation aux États-Unis. Pour être notifié d’un contact, il faudra encore installer l’application qui doit s’en charger. Entre temps Apple et Google savent, et la NSA aussi.
On pensait que les sommets de l’absurde avaient été atteints à l’époque de la Révolution culturelle chinoise, sous Mao Zedong, entre 1966 et 1976, mais apparemment quelques pics résistent encore. Il y a cinquante ans, les révolutionnaires s’en prenaient à la signalisation routière : en particulier au feu rouge, dont il fallait absolument ignorer les commandements, car le rouge symbolise l’élan révolutionnaire, et ne peut en aucun cas servir à arrêter la circulation.
Une analyse plus détaillée du dysfonctionnement de nos sociétés face aux contraintes imposées par le progrès ne nous apportera rien. Dans le cas du COVID-19, par exemple, ce n’est pas la propagation du virus qui gêne, ni les statistiques fixant sa mortalité, mais la révélation de l’existence de ces fameux laboratoires de niveau P4, installés dans les zones géographiques diverses où le virus s’étudie. À quoi servent-ils ? Que font-ils comme recherches ?
D’après le professeur Montagnier, dont les théories dites complotistes ont été trop vite écartées, il s’agit de modifications expérimentales portant sur le génome responsable des maladies virales les plus courantes (famille des COVID). L’empreinte génétique d’une infection que l’on cherche à combattre ou à propager (les deux actions sont complémentaires) s’introduit dans la séquence de base du génome porteur et permet d’étudier la réaction immunitaire d’une population ciblée, au profil génétique connu. L’exercice mène à la manipulation sans entraves du génome humain à l’échelle planétaire.
Dans une étude (en anglais) publiée le 1er Juin 2020, Jean Claude Perez et Luc Montagnier s’adressent à ces questions. La plupart des gens pourront vite se rendre compte qu’il s’agit d’un travail sérieux, qui mérite une réponse rigoureuse de la part de la communauté scientifique, plutôt que la rafale de quolibets anonymes relatée par les médias. Voici l’étude marginalisée par les « experts » :
https://osf.io/tgw2d/ [COVID-19, SARS and Bats Coronaviruses Genomes Unexpected Exogenous RNA Sequences].
La guerre moderne se livre sur le champ complexe des structures cellulaires colonisées par la nanobiologie. Nous sommes au cœur de la métaphysique quantique, où l’on se prépare à la naissance imminente de nouveaux dieux. Nos élites financent le développement des technologies de pointe, mais évitent de parler de la déification sélective des leurs qui s’annonce au seuil du transhumain. Dans le cas qui nous préoccupe ici, il s’agit d’anticiper le comportement égoïste des premiers de cordée à l’approche des sommets de la hiérarchie transcendante.
Pour saisir les enjeux à long terme (et peut-être même à très court terme), il faudrait se pencher sur la vie telle qu’elle se conçoit dans le cadre de la physique quantique. Pour plus de détails je vous renvoie aux publications indispensables du professeur Marc Henry, disponibles sur l’internet.
En voici une sur les ondes d’échelle (https://marchenry.org/2014/09/15/ondes-dechelle/)
et une autre sur les domaines de cohérence (http://nomana.free.fr/public/eau.html)
Sur le plan métaphysique il faudrait développer une interprétation purement vibratoire (on pourrait même dire musicale) de la transcendance, réalisable en pratique par l’unification des ondes d’échelle. En ce qui concerne notre position précise sur ces échelles, nous nous trouvons exactement entre le monde du plus petit (dont la densité est définie par le nombre d’Alvogadro) et l’immensité cosmique, où le nombre d’étoiles (10²³) correspond au même ordre de grandeur (le nombre d'Avogadro est le nombre d’entités élémentaires [atomes, ions ou molécules] contenues dans une mole de ces mêmes entités, soit approximativement 6,022 x 10²³).
La décohérence quantique (revue dans l’article sur les domaines de cohérence) donne une permanence spatio-temporelle à notre corps en tant qu’objet matériel. Or il se trouve que dans les limites de la relation sujet-objet, où plusieurs sujets observent le même objet, le domaine de cohérence s’installe sans difficulté, car les sujets sont connectés par l’information qu’ils reçoivent (intrication quantique). Le sens de l’information est relié au nombre d’individus qui le partagent. C’est le point de départ de l’aventure métaphysique.
En isolant les gens de manière systématique, et en les soumettant à des informations artificiellement contrôlées, la cité panoptique réduit l’individu à une machine incapable de se fondre dans un domaine de cohérence quelconque et par conséquent d’en tirer le sens nécessaire à une intégration organique de la communauté des observateurs. Le sens ne vient pas de l’individu, mais de la taille du groupe qui contribue à son existence tout en lui apportant l’énergie qui lui manque. Le sens découle d’une observation directe et non d’un processus mental qui dégrade le champ vibratoire, riche en harmoniques, par les itérations de sa dialectique binaire.
Il y a donc deux camps : d’une part ceux qui cherchent à coopter les lois naturelles pour s’approprier un pouvoir non partagé, de l’autre, ceux qui parviendront à survivre en se réfugiant dans les profondeurs du vide quantique. De là viendront sans doute les pulsions musicales synchrones qui ne manqueront pas de décomposer un monde dépourvu de sens. Inutile de dire que je me sens plus proche des musiciens que des ingénieurs.
Je vous laisse avec beaucoup de lecture et quelques images qui exposent le côté brutal ou raffiné des phénomènes vibratoires, à une échelle connue de tous :
https://www.youtube.com/watch?v=XggxeuFDaDU
https://www.youtube.com/watch?v=toXNVbvFXyk
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